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Les alentours de Villey-Saint-Étienne sont porteurs de bon nombres de vestiges. Si certains sont noyés dans la végétation, beaucoup sont encore bien visibles, voire même visitables sur demande auprès de la mairie.
Le fort du Vieux Canton et son Ouvrage Est feront l’objet d’articles dédiés.
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La batterie n°3
Ouvrage dont l’édification est prévue par la déclaration d’utilité publique du 12.06.1892, raccordé en 1898 au réseau de voie 60. Dénommée avant 1900 batterie n° 2 de Villey-Saint-Étienne, puis, probablement après 1920, batterie n° 3. Comportant seulement 2 plateformes de tir et 3 traverses, sa consistance semble avoir été réduite par la construction, à partir d’avril 1906, de la batterie cuirassée du Mordant dont la limite se situe dans son prolongement Est. Considéré comme inactif en 1913, l’ouvrage est néanmoins pourvu d’une clôture en fil de fer barbelé. (Source : https://inventaire-nancy.grandest.fr)
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L’ouvrage du Bas du Chêne
Construit en 1910, il a une capacité de 72 hommes. Il est surmonté d’un parapet permettant de tirer à 180°, avec emplacements de mitrailleuses, et comprenant une guérite blindée.
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L’ouvrage du Mauvais Lieu
Construit en 1907 en béton armé, avec des murs de 2 mètres d’épaisseur, il est surmonté d’un parapet défensif. Il remplace un précédent ouvrage en maçonnerie. D’une capacité de 12 places couchées et 88 places assises, il est organisé de la façon suivante : 2 chambrées pour les hommes, sous lesquelles se trouve la citerne, 1 cuisine, 1 local pour une section de mitrailleuse, 1 chambre pour officiers, 1 poste télégraphique, 1 pompe extérieure, 2 latrines pour 70 hommes chacune.
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La batterie n°1 du Mauvais Lieu – Ouvrage B3
Construite en béton armé, cette batterie dispose de trois abris de traverse, les deux extérieurs pour les artilleurs et le central pour les munitions. Trois niches à munitions sont visibles depuis l’entrée.
Prévu pour 4 pièces de 120, elle était desservie par une voie de 60.
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Le magasin à munitions
Situé près de la ferme du point-du-jour, il est composé de cinq alvéoles et est délimité par deux portails.
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Au nord-ouest, juste après le carrefour de la ferme du Point du Jour, il est possible d’observer les vestiges de ce qui semble être un poste de garde.
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Au sud-est se trouve une batterie en terre levée.
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L’ouvrage de la Nibarde
Abri pour une demi compagnie (80 personnes) d’infanterie en béton armé, construit en 1906. Il dispose d’un fourneau de campagne, de lits, du télégraphe et d’une ventilation électrique. Deux tranchées à masques se trouvent en avant de l’ouvrage, afin de défendre une dépression du terrain.
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L’ouvrage inachevé du Champ des Bœufs
Cet ouvrage d’infanterie, construit à 219 M d’altitude, se situe à 150 M en avant du saillant 2 du fort du Vieux Canton. Cet ouvrage, commencé mi 1913, est inachevé au moment de la déclaration de guerre. Il subsiste aujourd’hui tel qu’il était, sa dalle de béton supérieur n’ayant jamais été posée. Il était prévu pour recevoir 72 places couchées et 28 places assises.
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